Piqûres d’insectes : Les bons trucs naturels et le guide anti-moustiques
Piqûres d’insectes : Les bons trucs naturels et le guide anti-moustiques |
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une astuce naturelle pour repousser les moustiques : déposer quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus citronné (Eucalyptus Citriodora) sur sa peau. Voici les beaux jours. Pique-niques, ballades, sports de plein air sont au rendez-vous. Une occasion rêvée pour les insectes qui ont fait leur retour. Abeilles, guêpes, moustiques, araignées, aoûtats... nous réservent parfois de mauvaises surprises. Voici quelques conseils pour soulager leurs piqûres... en douceur ! Piqures d’insectes ... en résumé
1) Abeille, Guêpe ou frelon a) Prévention : Dans une petite assiette mélanger de l’essence de citronnelle avec de l’essence de géranium pour éloigner les insectes 2) Piqures de Moustiques a) Prévention : mettre une coupelle d’essence de citronnelle prés de soi. et appliquer sur les parties découvertes un mélange d’huile de massage ( 10 cuillères d’huile de massage + 1 cuillère d’Huile Essentiel de Citronnelle) 3 ) Piqures d’ Aoûtats mettez du vinaigre blanc 4) Piqures d’Araignées eau froide ou glaçons sur la piqure Les bons trucs contre les piqûres d’insectesVoici les beaux jours. Pique-niques, ballades, sports de plein air sont au rendez-vous. Une occasion rêvée pour les insectes qui ont fait leur retour. Abeilles, guêpes, moustiques, araignées, aoûtats... nous réservent parfois de mauvaises surprises. Voici quelques conseils pour soulager leurs piqûres... en douceur ! Voici quelques conseils de médecine naturelle pour soulager les piqûres d’insecte... en douceur ! Dans votre trousse d’été, vous devez mettre quelques médicaments homéopathiques, quelques huiles essentielles, un peu d’argile et de vinaigre... Des produits naturels pour éviter douleurs et démangeaisons. Les piqûres d’abeillesLes insectes ont déjà fait leur retour, particulièrement les guêpes, abeilles et frelons. Pour leur échapper, il faut d’abord éviter de se trouver à proximité d’une nourriture qui les attire. Lorsqu’on mange à l’extérieur, c’est difficile ! Vous pouvez mettre sur la table une coupelle remplie d’essence de citronnelle ou de géranium. Si elles approchent, ne faites pas de gestes brusques : c’est ce qui les incite à piquer pour se défendre ! Trop tard, vous êtes piqué ? Essayez d’enlever tout de suite le dard avec une pince à épiler, car c’est lui qui diffuse le venin. Ensuite, plongez la partie piquée dans de l’eau froide ou posez dessus un glaçon. Le froid ralentit la propagation du venin. Désinfectez si vous avez ce qu’il faut sous la main. Sinon, essayez de trouver quelques feuilles de persil ou de tomate et frottez vigoureusement la partie piquée. * La solution : L’idéal est d’avoir toujours à portée de la main deux tubes de médicaments homéopathiques : Apis 5 CH et Ledum palustre 5 CH. Le premier est une dilution d’abeille, le second de lédon des marais. Si la piqûre est rouge, chaude et gonflée, prenez immédiatement 5 granules d’Apis et renouvelez toutes les heures jusqu’à ce que les symptômes cessent. Si la piqûre est blanche et froide, prenez 5 granules de Ledum palustre. Les piqûres de moustiquesCertes, elles sont moins douloureuses que les piqûres d’abeilles ou de guêpes, mais chez certaines personnes, elles provoquent des démangeaisons terribles. Pour éloigner les moustiques, vous pouvez avoir recours à une coupelle d’essence de citronnelle. Si vous en supportez l’odeur, vous pouvez même vous frictionner le corps avec un mélange d’huile d’amande douce et d’huile essentielle de citronnelle (10 cuillerées de la première pour 1 de la seconde). * La solution : du vinaigre ! Si vous avez été piqué, frottez immédiatement avec du vinaigre ou à défaut du jus de citron, pour faire cesser la démangeaison. Les piqûres d’aoûtatsCes petits insectes à huit pattes vivent soit dans l’herbe, soit dans le pelage des animaux. Minuscules, ils passent inaperçus mais leurs piqûres provoquent des démangeaisons parfois intolérables. Evitez surtout de vous gratter, car vous risqueriez de déchirer l’épiderme et de laisser ainsi la porte ouverte à une infection. Evitez de marcher pieds nus dans l’herbe. * La solution : l’application de vinaigre ne suffit pas toujours pour calmer ces démangeaisons. Vous pouvez passer directement sur les piqûres quelques gouttes d’huile essentielle de lavande. Cette huile peut être utilisée pure car elle n’est pas irritante. Les piqûres d’araignéesEn France, les araignées ne sont pas dangereuses. Leurs piqûres provoquent, tout au plus, des petits boutons rouges et des démangeaisons parfois importantes. Comme pour les piqûres d’abeilles, passez un glaçon sur la piqûre pour éviter la diffusion du venin. Vous pouvez également y apposer un cataplasme d’argile. * La solution : essayez l’huile essentielle de camomille. Mélangez 10 gouttes de cette essence dans une cuillerée à soupe d’huile de base (jojoba, onagre...). Et appliquez régulièrement sur la piqûre jusqu’à cessation des symptômes. Cette huile est anti-allergique, sédative, cicatrisante et anti-inflammatoire. Attention aux allergies Chez les personnes ayant un terrain allergique, les piqûres d’insectes peuvent parfois provoquer des réactions violentes allant jusqu’au choc anaphylactique, lequel peut être mortel. Il faut faire attention également aux oedèmes de Quinck, qui se manifestent par un gonflement brutal d’une partie du corps. Ces oedèmes sont dangereux lorsqu’ils siègent au niveau du visage ou du cou, car ils peuvent provoquer un gonflement de la glotte et un étouffement. L’ampleur de la réaction allergique dépend à la fois de la sensibilité du sujet et du nombre de piqûres simultanées. Si vous constatez une réaction anormalement violente, il faut consulter immédiatement un médecin pour éviter tout risque majeur. http://soignez-vous.com/
Boutons, rougeurs, démangeaisons... En été, les moustiques sont une véritable plaie pour les vacanciers. Si la plupart du temps ils sont inoffensifs, ils peuvent parfois être meurtriers. On considère qu’ils ont tué plus d’humains que tout autre insecte ou animal par la transmission de maladies comme la dengue ou la malaria. Chaque année, ils tuent près de trois millions de personnes dans le monde. Pourquoi nous piquent-ils ? Comment les en empêcher ? Comment soulager une piqûre ? Toutes les réponses avec PasseportSanté.
Nourrir ses oeufs Comme chez les guêpes et les abeilles, ce sont les femelles moustiques qui sont responsables des piqûres chez l’homme. Après l’accouplement, la femelle part à la chasse pour recueillir le sang des mammifères afin de trouver la source de protéines nécessaire pour nourrir ses œufs. Quarante-huit heures après la prise de ce repas, les femelles fécondées déposent leurs œufs à la surface d’une eau stagnante (mares, ruisseaux, flaques...). L’eau est absolument nécessaire au développement des œufs du moustique : une terre humide ne suffira pas. Cette séquence « reproduction-piqûre-ponte » est répétée plusieurs fois au cours de la vie du moustique. La durée et la fréquence du cycle dépend de l’espèce mais on estime que le moustique commun reproduit ce cycle deux fois par semaine en été. Une piqûre suffit largement à couvrir les besoins en protéines des œufs : il est donc faux de penser qu’un moustique puisse être responsable de plusieurs piqûres le temps d’une nuit. La piqûre, le plus souvent nocturne (généralement à l’aube ou au crépuscule) et indolore, dure environ trois minutes si le moustique n’est pas dérangé. Repérer sa proie Inutile d’éteindre la lumière pour les éviter, le moustique repère sa cible grâce à son odorat. Il est d’abord capable de sentir la présence de dioxyde de carbone (émis par la respiration et la transpiration des êtres vivants) à plus de trente mètres de distance. Plus il se rapproche, plus il va détecter les odeurs humaines composées par les acides gras (sébum, acide butyrique), les acides lactiques ou autres relents ammoniaqués émis par la peau, comme l’haleine ou l’urine. Lorsqu’il se trouve tout proche de la peau de l’homme, il utilise des thermorécepteurs. Ces détecteurs de chaleur infrarouges vont lui permettre de trouver la veinule, plus chaude, à l’intérieur de laquelle il va puiser le sang nécessaire à sa ponte. Le système visuel, surtout sensible aux mouvements, est en fait très peu performant. Pourquoi ça gratte ? Comment se déroule une piqûre ? Lorsque le moustique est en place, il enfonce ses stylets à travers la peau jusque dans la veinule de l’homme. Grâce à un premier canal, formé par l’hypopharynx, il injecte de la salive qui empêche le sang de coaguler dans sa trompe. Il peut ainsi aspirer tranquillement, grâce au deuxième canal, le sang resté fluide. La quantité de sang prélevée varie alors de 5 à 10 mm3. Lorsque le moustique a terminé son repas, il part comme il est venu : sans se préoccuper de ce qui se passe dans l’organisme humain. Le système immunitaire en alerte Le moustique n’a donc pas dispersé un anesthésiant dans l’organisme, comme on le dit souvent. Sa salive qui n’avait pour but que de stabiliser les plaquettes sanguines, va avoir un tout autre effet. Devant la présence de cette substance inconnue, notre système immunitaire se met en alerte et envoie des mastocytes en première ligne. Ces cellules ont la capacité de détecter des substances étrangères, et d’exploser à leur contact pour protéger l’organisme. En éclatant, elles libèrent massivement de l’histamine, qui provoque les rougeurs et les démangeaisons que l’on connaît. D’autres agents immunitaires sont ensuite attirés et font apparaître un petit bouton rouge. Il s’agit d’un gonflement de la peau rempli d’eau : il ne faut en aucun cas tenter de le percer, sous peine de risquer une infection. Cela explique pourquoi les piqûres grattent généralement beaucoup plus au printemps qu’à la fin de l’été, où le corps s’est habitué progressivement à la salive du moustique. Pourquoi gratter fait-il du bien ? On le répète souvent assez : il ne faut pas gratter ses piqûres de moustiques. Plus facile à dire qu’à faire... Mais pourquoi gratter fait-il autant de bien ? Deux types de capteurs Pour comprendre ce phénomène, il faut observer ce qu’il se passe au niveau de la peau lors d’une piqûre. On sait que la peau possède de nombreux capteurs capables d’interpréter les stimulis extérieurs. Ces capteurs sont reliés à des fibres sensitives qui vont transmettre au cerveau l’information selon laquelle l’organisme est en danger : brûlure, coupure, pincement... Ce sont des informations d’alerte. Par exemple, lorsque la peau est brûlée, le cerveau induit la perception de la douleur pour alerter l’individu du danger qu’il encoure. Ici, dans le cas d’une piqûre du moustique, les fibres sensitives transmettent l’inflammation qu’elles ont détectée et le cerveau induit les démangeaisons. Certaines fibres sensitives sont capables de percevoir de simples signaux de toucher, comme les caresses par exemple. Ces stimulis ne vont pas mettre en alerte le cerveau, mais ils sont tout de même porteurs d’une information dite de contact. L’information de contact et celle d’alerte vont circuler au sein du même réseau nerveux si elles sont localisées dans une région proche. Des interactions peuvent avoir lieu entre les deux, et une information peut en parasiter une autre. Parasiter l’inflammation Ainsi, lorsque nous grattons autour d’un bouton de moustique, l’information de contact est perçue par le cerveau et nous court-circuitons l’information d’alerte. Durant un court laps de temps, le cerveau ne reçoit plus le message de l’inflammation et les démangeaisons disparaissent. Cette atténuation de la perception douloureuse peut également s’illustrer lorsque l’on prend un coup et que l’on masse la zone blessée. Ce sont les mêmes mécanismes qui entrent en jeu. Plus ça me gratte, plus je me gratte Pour autant, il faut éviter le plus possible de succomber à la tentation. Gratter peut permettre aux bactéries de traverser la peau et causer des surinfections. Et plus on gratte, plus ça gratte ! Comment expliquer ce phénomène ? En fait, l’action mécanique de gratter active des terminaisons nerveuses et va libérer des molécules d’histamine, qui vont à leur tour entraîner des démangeaisons. C’est un véritable cercle vicieux. Pourquoi certains sont-ils piqués plus que d’autres ? Contrairement à une idée reçue, les moustiques ne sont pas sensibles à la quantité de sucre dans le sang. Les « peaux sucrées » peuvent donc se rassurer ! En réalité, il existe deux raisons principales qui expliquent ce phénomène. Comme nous l’avons vu, les démangeaisons sont dues à une réaction allergique à la salive du moustique. Certains organismes, pour des raisons que l’on ignore, ne la considèrent pas comme nocive et la réaction allergique passe pratiquement inaperçue. Ils auront alors l’impression d’être moins piqué que les autres ! Des odeurs corporelles favorites Mais des recherches récentes montrent qu’il ne s’agit probablement pas de l’unique raison. Les moustiques sont attirés par les odeurs corporelles des organismes. Celles-ci sont liées aux phéromones que nous dégageons, et dont certaines sont plus attractives que d’autres. Cela peut être lié à la nourriture, la quantité de sueur, l’utilisation d’un parfum mais aussi de la composition bactérienne de notre peau. C’est ce dernier point qui a retenu l’attention des chercheurs de l’université de Wageningen (Pays-Bas). Ils ont étudié 48 hommes pour tenter de savoir quelles odeurs et quelles populations bactériennes étaient préférées par les moustiques. Neuf d’entre eux ont été particulièrement piqués, alors que sept ont réussi à passer entre les mailles du filet. Chez les personnes les plus piquées, on retrouve souvent la même caractéristique : une grande quantité de bactéries. On retrouve chez eux des bactéries très attractives et émettrices de composés volatils puissants : Leptotrichia sp., Delfia sp. et Actinobacteria Gp3 sp. En revanche, les porteurs de Variovorax sp. et Pseudomonas sp. sont très peu piqués... Ajoutons également, que les femmes enceintes sont généralement piqués davantage en raison des hormones abondamment secrétées. Source Passeportsanté.net cliquez ICI Moustiques : évitez les piqûres naturellementFaites-vous partie de ces gens qui ne se font jamais piquer par les moustiques ? Si c’est le cas, ce n’est pas la peine de lire ma lettre d’aujourd’hui. Elle s’adresse aux 20 % de malheureux qui se font toujours attaquer en premier, et finissent les belles soirées d’été les chevilles dévorées, malgré les serpentins, la citronnelle, et les appareils anti-moustiques à ultrasons. Les moustiques développent aussi des résistances aux anti-moustiques de synthèse, qui sont de moins en moins efficaces. Le problème de ces méthodes d’auto-défense est qu’elles ignorent un principe fondamental de toute stratégie militaire : connaître son ennemi. Pour éviter de vous faire piquer, vous devez savoir pourquoi les moustiques trouvent certaines personnes si délicieuses, et pas d’autres. Il est aussi important d’éviter de vous faire piquer car les moustiques sont parfois porteurs de parasites et de maladies virales comme la fièvre dengue, le chikungunya, et plusieurs types d’encéphalites (inflammations du cerveau). ..1 Votre groupe sanguinLes moustiques piquent parce qu’ils veulent manger les protéines qui sont dans votre sang. Or, le type de protéines que vous avez dépend de votre groupe sanguin. Si vous faites partie du groupe O, pas de chance, ce sont les protéines que les moustiques préfèrent ! Vous avez alors deux fois plus de chance d’attirer les moustiques qu’une personne du groupe A, selon une étude (1), car votre peau secrète un produit chimique qui leur indique votre groupe sanguin. Il sera alors plus important pour vous de porter des habits couvrants, même si les autres convives à l’apéro sont en short et ne se font pas piquer. Si vous faites partie du groupe B, vous avez un risque intermédiaire. ..2 Dioxyde de carboneLes moustiques repèrent leur proie en détectant le dioxyde de carbone qu’elles émettent par la respiration. Ils sont capables de repérer un gros mammifère à plus de 50 mètres grâce à un petit organe appelé palpe maxillaire, dans leur mâchoire. (2) Plus vous respirez fort, plus vous émettez de dioxyde de carbone, plus vous attirerez les moustiques. Les personnes ayant une forte masse corporelle ou qui font des efforts physiques doivent donc plus se protéger que les autres. C’est la raison pour laquelle, dans l’ensemble, les enfants se font moins piquer que les adultes. ..3 SportEn plus du dioxyde de carbone, les moustiques repèrent leurs victimes à leur odeur d’acide lactique, d’urée, et d’ammoniaque, qu’elles émettent lorsqu’elles transpirent. Les personnes qui s’agitent, qui ont de la fièvre ou qui ont naturellement une température corporelle élevée attireront plus les moustiques. Se doucher permet de chasser ces odeurs. ..4 BièreBoire une simple canette de bière augmente l’attraction des insectes, selon une étude. (3) On pense que le phénomène est lié à la présence d’éthanol (alcool) qui attirerait les moustiques mais cela n’a pour l’instant pas pu être confirmé. Ce qui est sûr par contre est que, une fois que vous aurez bu une bière, les moustiques seront plus fortement attirés par vous. ..5 Couleur des vêtementsC’est tout bête mais les moustiques ne repèrent pas leurs proies uniquement à l’odeur : ils ont aussi des yeux, et vous voient !! Si vous portez des vêtements qui se détachent fortement sur votre environnement, par exemple des vêtements noirs, bleu marine ou rouge, ils vous trouveront plus facilement et viendront se poser sur vous, selon l’entomologiste James Day, de l’Université de Floride (une zone bien connue pour ses marais infestés de moustiques). (4) ..6 GrossessePlusieurs études ont montré que les femmes enceintes attirent deux fois plus les moustiques. (5) Elles produisent en effet 21 % de dioxyde de carbone en plus que d’habitude, et leur température corporelle est plus élevée de 0,75 °C. ..7 BactériesLes moustiques aiment les zones dans lesquelles se trouvent beaucoup de bactéries de peu d’espèces différentes. Ainsi les zones des chevilles et des pieds, qui sont dans ce cas, les attirent particulièrement. (6) ..8 HabitudeLa taille de votre piqûre de moustique ne dépend pas du temps que le moustique aura passé à vous pomper du sang, mais de la réaction de votre système immunitaire à la salive que le moustique introduit dans votre peau. Plus vous vous faites piquer par une même espèce de moustique, moins vous réagirez. Malheureusement, il existe plus de 3000 espèces différentes dans le monde ! ..9 EspoirMais pour conclure cette lettre sur une note d’espoir, sachez que des scientifiques travaillent actuellement sur les raisons pour lesquelles une minorité de personnes ne sont pas ou très rarement piquer. Il semblerait qu’elles émettent des composés chimiques faisant office de répulsifs naturels. (7) Un spray naturel et efficace pourrait ainsi être développé qui permettra aux femmes enceintes, de groupe sanguin O, faisant du sport et portant des vêtements sombres d’éviter de se faire piquer. En attendant, les experts de l’association américaine de surveillance des moustiques proposent une astuce naturelle pour repousser ces envahisseurs : déposer quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus citronné (Eucalyptus Citriodora) sur sa peau. On sait aussi que le jus d’ail déposé sur la peau peut repousser les moustiques pendant une petite heure mais l’odeur risque de repousser aussi vos compagnons de vacances. A votre santé ! Jean-Marc Dupuis. ****************************** |
Date de dernière mise à jour : 25/11/2015